Ode à la jupe

Cette jupe, ça doit être la quatrième fois qu'elle apparaît sur ce blog (les trois premières fois c'était ici, là et là). Parmi toutes les merveilles (ou pas) qui peuplent ma penderie, c'est probablement l'une de celles que je me félicite le plus d'avoir achetées et je crois que c'est aussi ma « pièce » préférée de chez H&M. OK, vous allez me dire « pièce », comme tu y vas, c'est du H&M, pas du Prada, elle a dû te coûter à peine 24,95 €... Oui, mais, d'abord, je ne peux pas (ni ne veux, d'ailleurs) me payer du Prada, ensuite, je crois que la valeur d'un objet ne se limite pas à sa valeur marchande (et heureusement) et, enfin, je trouve qu'elle a vraiment un truc, cette jupe. Ces épaisseurs de tissu, cette mousseline qui danse au gré de mes pas, qui me fait me sentir pratiquement irrésistible quand je marche (oui oui), ça lui vaut bien un tel qualificatif, non ? (C'est dingue ce qu'un simple bout de tissu peut éveiller en nous, hein ?)

Bref, tout ça pour dire que ces quatre looks shootés pour le blog doivent correspondre à peu près aux quatre seules fois (oui, bon, j'exagère peut-être un peu) où je l'ai mise (depuis l'ouverture du blog, œuf corse). D'abord parce qu'elle n'est pas si facile à porter que cela et aussi parce qu'à chaque fois que je la porte, je kiffe tellement le résultat que je me sens presque obligée de l'immortaliser. Voilà, fin de l’ode à la jupe. 

Belle journée, mes damoiselles (et damoiseaux, s'il s'en trouve pour me lire).

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